Un des adages de ma vie : « fille qui voyage a toujours un ouvre-bouteille dans sa sacoche et / ou sa valise ». Aujourd’hui… well… epic fail (question : est-ce que les jeunes disent encore ça cette année?)

Après un réveil aux petites heures (5 h!), et une ballade en train, mes deux complices de formation m’attendent à la Gare Centrale, et aussitôt arrivée, on se dirige vers l’INRS à Varennes. Quelle belle matinée de formation nous avons livrée! Nous sommes très fières de nous trois.

Arrivée à l’hôtel mon nouveau home away from home, je me dis que je vais lire mes courriels (et pourquoi pas y répondre?), tout en sirotant un p’tit rouge. D’ailleurs, j’ai invité mon amie Chantal à prendre l’apéro avant d’aller souper. Ben, bazwell, où est mon ouvre-bouteille? Nowehere to be seen, apparently… zut et re-zut. Pas grave, que je me dis. Le resto ou encore le bar peuvent très certainement m’en prêter un pendant quelques minutes.

Ben non. Ils ne sont pas encore ouverts pour la soirée. Prochaine possibilité : la réception. Yé! Ils peuvent m’en prêter un. Retour à la chambre. Re-re-zut. Il ne fonctionne pas. La section pour agripper le rebord de la bouteille est trop cheap et n’agrippe rien. Retour à la case départ, à la réception, on m’assure qu’ils peuvent m’en prêter un autre. Il y a de l’espoir (la fille est positive!). Hé non. Celui-ci a le tire-bouchon trop flexible, il plie carrément en deux, rien à faire. Grrrrrrrrrrrrr.

Je vais donc au dépanneur du Palais des Congrès et je me dis qu’ils doivent vendre des ouvre-bouteilles. Non. Me voilà donc résigner à acheter une bouteille à bouchon dévissable. Perso, dans les rouges, j’ai de la difficulté avec les vins de dépanneur. Je trouve un Toro Loco. Pas mal moins bon que mon choix original, mais je ne console en me disant qu’au resto, on pourra profiter de mon Monasterio de las vinas. Et qu’au retour à la maison, j’aurai le vino portugais que je n’ai pas été capable d’ouvrir!

 

Mais bon. Chantal a heureusement un ouvre-bouteille dans sa sacoche. Ouf! On prend l’apéro avant d’aller au Steak frites. Autant que celui de Gatineau est épouvantable, autant j’aime celui-là. Et une autre belle soirée. Steak excellent, très bons vins et de bonnes conversations. Des amies, on le dit assez, peuvent passer du temps sans se voir, mais quand on est ensemble, on en profite. On partage nos émotions et nos confidences. Et… what was shared at the Steak frites stays at Steak frites!

 

 

 

Commentaires

Soumettre une réponse

Votre courriel ne sera pas publié. Les champs obligatoires sont marqués *.

Information