J’ai acheté ce livre à Halifax, en février dernier, puisque j’ai manqué de lecture! Ça m’a pris un peu de temps à le terminer, surtout puisqu’à un certain moment, je me suis un peu perdue dans l’histoire.

Ici, le sous-titre prend toute son importance.

Allemagne, 1944. En pleine Deuxième guerre mondiale. Ernst Best est un jeune dessinateur, sans emploi, qui finalement est embauché par une entreprise locale, et il est assigné à la Section spéciale des fours. Officiellement pour dessiner des fours destinés à incinérer les prisonniers morts du typhus.

Trouver un emploi bien rémunéré pendant la Guerre est un luxe inestimé. Ernst se dévoue donc à son travail, sans se douter que les fours ont une tout autre fonction. Qu’il fini par comprendre. Et le confronte à un sérieux dilemne: continuer le travail en faisant semblant de rien? Ou rendre publique l’information.

En fait, on le sait dès le début: il a réussi à donner les plans des fours aux Américains quand ceux-ci on vaincu les Allemands.

Pourquoi je me suis perdue dans cette histoire? Moi qui adore cette période de l’Histoie? Je pense que c’est tout simple: je m’endors toujours en lisant, et parfois, je perds ma page. J’en saute quelques-unes. Je pense que c’est ce qui est arrivé. J’ai perdu des moments importants de l’histoire. 🙂

Mais ceci-dit, c’est un excellent livre. La trame est tellement bien ficelée et pleine de rebondissements. Auxquels moi je ne m’attendais jamais. Et une très belle écriture, très littéraire. J’avais souvent le besoin de relire des phrases afin de bien les comprendre.

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