29 mars 2020

Pour une première fois depuis longtemps, en fait, depuis le confinement, la température a été très moche et a joué sur le moral de pas mal de monde.

C’est dimanche, donc, pas de cadran pour me réveiller. J’ai donc dormi jusqu’à environ 9 h, ce qui fait du bien. Remarquez, depuis que je travaille de la maison, je me réveille à 7 h 45, descend, prépare mon café et je me retrouve devant ma table de travail pour 8 h, comme à l’habitude.

Ce matin, par contre, avec mon café, plutôt que de descendre travailler dans mon bureau, j’ai continué ma révision du mémoire de Martine. J’ai pris mon temps : c’est le genre de travail que l’on ne veut pas rater.

Mais rien ne me fait manquer le point de presse de 13 h, le Legault et Horacio show. La meilleure (à mon humble avis)? « Écoutez, les bancs de parc on ne les lèche pas, on s’assoit sur nos fesses » (ou à peu près!).

Ensuite, c’est vrai. Plutôt que de retourner réviser le mémoire, nous faisons du ménage. Faut bien profiter de la pluie et de la journée morose. Et.. ceux et celles qui sont au courant, après 15 mois de traineries intenses dans ma bibliothèque (2 ans si je calcule le moment où j’ai commencé à ramener des choses de chez ma mère), j’y ai mis de l’ordre. Et Béatrice en a profité pour installer MON vélo sur un support. Dès maintenant, on va pouvoir faire du vélo stationnaire. Une activité de plus à faire pendant le confinement. Youpi!

J’ai continué ma lecture du mémoire de Martine pendant le reste de l’après-midi, et on s’est fait notre session Zoom habituelle. J’avais des questions pour elle afin de bien comprendre certaines sections. On a beau dire que le confinement est difficile, profiter de ces moments, cela fait tellement de bien. C’est presque comme la vie normale.

Pour le souper, Béa a préparé des hamburgers que j’ai décrétés être aussi bons que ceux que Papi Michel nous préparait. Ce qui n’est pas peu dire. Avec les burgers venaient des frites pas-maison et plein de condiments. Truc : faites cuire votre bacon et ensuite faites revenir les onions dans la graisse dudit bacon. Un pur délice. Bon, je l’avoue, pas très santé, mais une fois de temps en temps, ce n’est pas si grave!

Après le souper (et la vaisselle – plus que deux jours à tenir), j’intègre mes corrections à la version électronique du mémoire de Martine. Aussitôt fait, on commence à regarder Braveheart, que Béa et Alexis n’ont jamais vu. Mais c’est un long film. Il est 22 h 10 et je suis claquée. Je vais aller me coucher bientôt.

Tourlou les confinés!

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