28 mars 2020

28 mars 2020

C’est samedi. Ce qui veut dire qu’il n’y avait pas de réveil-matin, mais j’ai pu dormir juste pour le plaisir, et disons-le, parce que je ne suis pas débordée de choses à faire ces temps-ci.

Le café matinal est tellement bon! J’espère que Café Aladdin est toujours ouvert, parce que lorsque j’aurai passé au travers de ma boîte de café, j’espère pouvoir me renflouer là! Pour la suite, à l’heure où je me suis réveillée, après le café, c’était plus logique de diner plutôt que de déjeuner. Je termine donc le macaroni à la viande.

Ensuite, un après-midi mollo. Après le point de presse de 13 h, je retourne dans mon bureau, mais je dois avouer que je n’ai pas fait grand-chose. Je dois imprimer un document, mais bon. Obligée d’aller chez Bureau en Gros. Le magasin n’est pas fermé comme tel, mais les gens n’y ont plus accès. On doit donc commander en ligne et cueillir les achats à la porte. C’est très efficace. J’ai à peine eu le temps de passer la commande et attendre quelques minutes avant de recevoir l’appel.

De retour à la maison, Béa et moi on va marcher dans le quartier. Si on trouve vraiment pénible d’être confinées, je crois que l’on fait une bonne job de trouver le plus de choses agréables à faire. Marcher à tous les jours fait partie de ces activités. Et vous savez-quoi? On en profite pour jaser de tout et de rien. De ses études, de son stage chez Centraide en septembre prochain. Elle se trouve chanceuse : la Cité collégiale continue à dispenser les cours, à distance bien entendu, et elle se trouve bien encadrée par les professeurs. On a de bonnes discussions ensemble et j’apprécie ces moments. Cette période surréelle semble ramener bien des gens vers d’autres priorités.

On croise Dan et Charlotte, en voiture, qui reviennent de livrer les épiceries dans leur famille. On placote un peu, et on continue chacune notre chemin. On s’arrête chez Stéphanie et Fabien (toujours en gardant nos distances….. my oh my que c’est plate!), et on jase avec Steph, pendant que la chicane poigne entre les filles. Pauvres elles. Le confinement est difficile pour les enfants. On repart donc, et Steph nous rejoint en vélo. On poursuit donc la jasette pendant plusieurs minutes. On se dit que lorsqu’il fera beau, j’apporterai le kit pour faire du splash painting et on en fera dans le stationnement, toujours en gardant nos distances.

Retour à la maison, on a joué quelques tours de Scattergories avec Danielle et Gabrielle, toujours par Messenger. C’est quand même pas pire. Ça se fait. Et on se promet de recommencer.

Ensuite, on commence à réviser le mémoire de maîtrise de Martine. C’est tellement excitant. Et franchement, ça me rend fière que mon amie de si longue date me fasse autant confiance pour réviser son mémoire. C’est quelque chose! Je me donne jusqu’à demain pour terminer cette révision.

Sinon, pour le souper, on s’est gâtés : filet de sole sauce crème et estragon, légumes au four (pommes de terre et carottes, et pour toper le tout, une super salade à la Béa.

En soirée, je commence mon nouveau projet : tricoter un châle avec du coton qui traine chez moi depuis longtemps. Que je commence en regardant une nouvelle série dont j’ai entendu tellement de bonnes choses : Les Borgia.

Prix de l’essence : toujours à 0,79.9 $

C’est samedi. Ce qui veut dire qu’il n’y avait pas de réveil-matin, mais j’ai pu dormir juste pour le plaisir, et disons-le, parce que je ne suis pas débordée de choses à faire ces temps-ci.

Le café matinal est tellement bon! J’espère que Café Aladdin est toujours ouvert, parce que lorsque j’aurai passé au travers de ma boîte de café, j’espère pouvoir me renflouer là! Pour la suite, à l’heure où je me suis réveillée, après le café, c’était plus logique de diner plutôt que de déjeuner. Je termine donc le macaroni à la viande.

Ensuite, un après-midi mollo. Après le point de presse de 13 h, je retourne dans mon bureau, mais je dois avouer que je n’ai pas fait grand-chose. Je dois imprimer un document, mais bon. Obligée d’aller chez Bureau en Gros. Le magasin n’est pas fermé comme tel, mais les gens n’y ont plus accès. On doit donc commander en ligne et cueillir les achats à la porte. C’est très efficace. J’ai à peine eu le temps de passer la commande et attendre quelques minutes avant de recevoir l’appel.

De retour à la maison, Béa et moi on va marcher dans le quartier. Si on trouve vraiment pénible d’être confinées, je crois que l’on fait une bonne job de trouver le plus de choses agréables à faire. Marcher à tous les jours fait partie de ces activités. Et vous savez-quoi? On en profite pour jaser de tout et de rien. De ses études, de son stage chez Centraide en septembre prochain. Elle se trouve chanceuse : la Cité collégiale continue à dispenser les cours, à distance bien entendu, et elle se trouve bien encadrée par les professeurs. On a de bonnes discussions ensemble et j’apprécie ces moments. Cette période surréelle semble ramener bien des gens vers d’autres priorités.

On croise Dan et Charlotte, en voiture, qui reviennent de livrer les épiceries dans leur famille. On placote un peu, et on continue chacune notre chemin. On s’arrête chez Stéphanie et Fabien (toujours en gardant nos distances….. my oh my que c’est plate!), et on jase avec Steph, pendant que la chicane poigne entre les filles. Pauvres elles. Le confinement est difficile pour les enfants. On repart donc, et Steph nous rejoint en vélo. On poursuit donc la jasette pendant plusieurs minutes. On se dit que lorsqu’il fera beau, j’apporterai le kit pour faire du splash painting et on en fera dans le stationnement, toujours en gardant nos distances.

Retour à la maison, on commence à réviser le mémoire de maîtrise de Martine. C’est tellement excitant. Et franchement, ça me rend fière que mon amie de si longue date me fasse autant confiance pour réviser son mémoire. C’est quelque chose! Je me donne jusqu’à demain pour terminer cette révision.

Sinon, pour le souper, on s’est gâtés : filet de sole sauce crème et estragon, légumes au four (pommes de terre et carottes, et pour toper le tout, une super salade à la Béa.

En soirée, je commence mon nouveau projet : tricoter un châle avec du coton qui traine chez moi depuis longtemps. Que je commence en regardant une nouvelle série dont j’ai entendu tellement de bonnes choses : Les Borgia.

Prix de l’essence : toujours à 0,79.9 $

Commentaires

Soumettre une réponse

Votre courriel ne sera pas publié. Les champs obligatoires sont marqués *.

Information