Toujours dans le cadre de mon parcours d’écriture, notre exercice de février était de raconter une histoire à rebours. Donc, on commençait par la fin plutôt que par le début. Par la suite, le défi était de raconter à nouveau l’histoire, mais avec l’aide de 4 à 8 phrases nomminales.
Deux exercices très différents et qui m’ont encore une fois, ouvert les yeux et permis de découvrir deux styles avec lesquels je me suis sentie très à l’aise.
Voici donc le résultat….
Recul
C’est positif. Deux lignes roses. Et ça se bouscule dans ma tête et dans mes émotions.
Hier, l’achat du bidule.
Avant-hier, un questionnement. Il se passe quoi?
Depuis 1 semaine, des malaises inconnus. De la nouveauté. C’est bizarre dans ma tête et dans mon corps.
On en avait parlé il y a quelques semaines. Est-ce qu’on était prêts? L’est-on vraiment prêts? On fait un saut dans le vide? Ou on ne le fait pas? On sera bons? Ou on va tout faire foirer? On est assez responsables? Ou on ne l’est pas assez encore?
On se lance dans la course? Ou on reste dans nos vieilles pantoufles?
Et dire que tout ce questionnement a commencé par cette phrase de mon chum.. Bon, on va se coucher? Je ne suis pas fatigué, mais…
C’était il y a un mois. Maintenant, je suis enceinte, heureuse, très heureuse, mais perplexe et émotive comme ça ne se peut pas.
Écrire à la voie nomminale
Un regard invitant et un geste d’affection
Une mini-moi en préparation
La fin de la liberté totale, le début de mille découvertes
Les montagnes russes de questionnements
La fatigue et la fierté qui s’entremêlent
Le sentiment d’avoir bien réussi
Le rôle de maman
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